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Alégria
dimanche 20 septembre 2009
Adada
comme un oiseau qui passe
puis soudain s'enfuyait
ouvrait mes livres
s'asseyait
bonjour mon petit père
et disait
elle entrait
chaque matin
un peu
dans ma chambre
de venir
enfantin
dans son age
demain
et si tu n'existais pas
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divan
Adada
que fut mon premier amour
de l'oiseau
o si languissante
plus rien que la voix
célébrant l'absente
plus rien que la voix
on n'entend plus rien
qu'au bout d'un instant
si bien
s'éteint par degré dans l'arbre
en montant apaise
qu'une brise moite
la rumeur mauvaise
s'abattent et puis
s'abattent sur moi
tous mes souvenirs
d'oiseaux en émoi
Comme un vol criard
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